« J’ai fait mes trois années de licence et mes deux années de master à la faculté de droit de La Rochelle. Quand l’opportunité s’est présentée de poursuivre une thèse ici, je n’ai pas hésité, je me suis porté candidat ! La taille de l’université est vraiment un atout. Le contact avec les enseignants est facile, on est accompagnés. Même quand on a des problèmes d’ordre administratif ou technique, le personnel est très aidant. Cette proximité est facilitante. Le fait que des professionnels assurent des cours et des travaux dirigés est aussi très enrichissant. Sans compter que cela nous aide à trouver des stages. Et puis il y a un bon esprit entre les étudiants, il n’y a pas de compétition ! »

« J’ai passé le concours EG@ qui permet à des étudiants internationaux d’intégrer dix écoles d’ingénieurs en France. Cesi était mon premier choix en raison de la pédagogie active qui y est proposée. On nous pose des questions et c’est à nous de trouver les solutions, avec l’appui des enseignants. C’est motivant et ça rend fier. Un campus avec la plage à proximité, ça me faisait aussi rêver ! La ville est vraiment belle, conviviale et très adaptée aux étudiants. C’est facile de se déplacer, il y a plein d’activités, des associations. C’est trop bien ! Je suis membre du Bureau des Arts et du Numéri’Lab (cours et activités en lien avec l’informatique) de Cesi et j’ai été bénévole à l’Afev (Association de la Fondation Étudiante pour la Ville) »

« J’ai choisi de faire ma LAS à La Rochelle car l’université proposait l’option « Sciences pour la Santé » qui n’existe pas à Poitiers. Étant donné que c’était la première année de cette licence, je craignais un peu que tout ne soit pas prêt. Mais tout était très bien organisé. Nous avions des référents à la scolarité dédiés à la LAS pour répondre à toutes nos questions. Les enseignements étaient très complets. Et puis, j’ai vraiment apprécié de pouvoir me promener le long de la mer pendant mes pauses. Ne serait-ce que dix minutes, ça fait beaucoup de bien. Je louais une chambre chez l’habitant, où il y avait aussi deux autres étudiantes, à vingt minutes à pied de la fac. Sinon, je me déplaçais tout le temps à vélo. » 

« J’ai intégré l’Eigsi après une licence à l’université de La Sorbonne. Je cherchais une énergie de grande ville mais à taille humaine. Des amis de mes parents m’ont vanté les mérites de La Rochelle et les avis des étudiants que j’ai pu lire sur l’Eigsi étaient positifs. Ce qui m’a fait choisir cette école, c’est aussi le contact humain lors de mon entretien et l’accent mis sur les « soft skills » dans nos études. Les professeurs sont à notre écoute, tout comme l’administration et le service de maintenance. La Rochelle est une jolie ville, sympa à vivre et très sûre. Je ne me suis jamais sentie en danger. Les gens sont de bonne humeur et on se connaît vite entre étudiants. J’utilise le bus et le vélo en libre-service pour me déplacer. Le fait de pouvoir prendre son abonnement annuel en cours d’année, c’est vraiment bien. Ce n’est pas le cas partout. On sent que les étudiants sont les bienvenus ! » 

« J’ai découvert Excelia sur un salon à Nantes. J’ai eu un très bon contact et les enseignements proposés par l’école me plaisaient : le côté international, le management, le marketing, la géopolitique, la comptabilité… on touche à tout ! Dans le cadre de nos études, nous devons tous participer à un projet d’intérêt général, souvent dans des structures d’accueil d’enfants. Moi j’ai passé deux mois et demi à Madagascar comme « aide maitresse ». Ce dispositif Humacité n’existe qu’à Excelia. C’est une école à taille humaine. Tout le monde est accessible, ouvert. Il n’y a pas de barrière. Et j’adore La Rochelle. J’habite aux Minimes, près de l’océan. Je vais me balader le long de ma mer, je vais au marché en centre-ville. C’est hyper vivant sans être étouffant. Je trouve ça très « safe ». Je me suis toujours sentie en sécurité. Et puis, même en étant dans une école privée, on peut avoir accès aux équipements universitaires. »